Isère. Un rassemblement syndical pour renouer avec le progrès social

Et maintenant ? CGT, FSU, Unsa et Solidaires ont une idée sur la question. Répondre à l’urgence sociale et écologique, c’est commencer à faire reculer le RN.
Et maintenant ? CGT, FSU, Unsa et Solidaires ont une idée sur la question. Répondre à l’urgence sociale et écologique, c’est commencer à faire reculer le RN.
Dans une déclaration commune, cinq organisations syndicales appellent à « voter pour les candidats les mieux placés pour battre l’extrême droite ».
Dans une déclaration datée du 1er juillet, l’union départementale CGT de l’Isère appelle à la mobilisation pour écarter le danger d’une « extrême droite raciste, antisémite, sexiste, homophobe et violente ».
Quatre syndicats avaient invité les salariés à se retrouver au portail de l’entreprise. Un coup de semonce pour indiquer à la direction que le minimum, c’est une augmentation des salaires qui corresponde à l’évolution des prix. Maintien du pouvoir d’achat, en somme.
L’heure est à la mobilisation unitaire. Cinq organisations syndicales ont décidé d’agir ensemble pour contrecarrer les mensonges de l’extrême droite mais aussi pour mettre sur la table les revendications qu’il faut enfin satisfaire pour mettre fin à la crise sociale et démocratique du pays.
La fédération nationale CGT de l’agriculture et de la forêt appelle à une journée d’action le 20 juin comprenant des appels à la grève. « L’insupportable signe d’égalité entre la ruralité et le RN, ça ne sera pas au nom des ouvriers agricoles. »
Atos, l’entreprise qui gère l’informatique des JO de Paris ou les données médicales de la Sécu, a été reprise début juin par un groupement emmené par David Layani, P-DG de l’entreprise Onepoint. Une opération à plusieurs milliards dans laquelle l’État s’est finalement impliqué en annonçant la prise de contrôle de certaines activités.
La CGT, la CFDT, la FSU, l’Unsa et Solidaires appellent à des manifestations samedi 15 juin. Le collectif « J’aime ma poste » annule la manifestation prévue et organise un rassemblement samedi 15 juin à 13h30 devant le bureau de poste Alsace-Lorraine dont la poste a annoncé la fermeture à compter du 24 août.
Le 2 juin, sur une aire d’autoroute de l’A43 entre Chambéry et Montmélian, la CGT transports Alpes a organisé une journée de rencontre entre chauffeurs routiers de toutes nationalités. Rencontre conviviale et syndicale, qui illustre ce que pourrait être une Europe de la solidarité.
A l’appel de la CGT et dans le cadre d’un mouvement national, des salariés de Capgemini ont observé une journée de grève à Montbonnot, le 4 juin. En cause le refus de la direction de décider d’une augmentation générale des salaires tandis que les revenus des membres de la direction de l’entreprise et de ses actionnaires sont en forte hausse.
Le syndicat CGT des travailleurs sans papiers a organisé un rassemblement devant la préfecture de l’Isère le 28 mai. Il dénonce le verrouillage de la préfecture qui refuse les régularisations et les renouvellement de titres de séjour. Un système mis en place pour remettre en cause l’accès aux droits des travailleurs.
Témoignages de ce qu’une vie sans papiers veut dire. Une assemblée organisée par le syndicat CGT des travailleurs sans papiers a permis l’expression publique de cette réalité d’aujourd’hui, tandis qu’il devient de plus en plus difficile d’obtenir le renouvellement de son titre de séjour, malgré des décennies de travail en toute légalité.
Les gardiens de troupeaux demandent la conclusion d’un accord départemental sur les salaires et les conditions de travail. Le syndicat des employeurs, la FDSEA, se refuse à négocier.
L’Union des syndicats CGT de la métallurgie Isère, en lien avec les unions locales CGT de Fontaine et du Grand Grenoble, organisait un rassemblement de solidarité jeudi 28 mars, devant l’entreprise « Fontaine Insertion ».
A Bourgoin-Jallieu, deux rassemblement se sont tenus ce matin du 19 mars. L’un devant la mairie de Bourgoin-Jallieu, à l’appel des syndicats CGT et CFDT des agents territoriaux sur la prime de pouvoir d’achat, et un devant le collège Allende réunissant des représentants de collèges et lycées, à l’appel de l’intersyndicale locale.
Le groupe Elior-Derichebourg abandonne le marché du nettoyage des sites rattachés à la préfecture et aux finances publiques. Le Code du travail contraint le futur prestataire à reprendre les salariés concernés. Les mutations sont de fait annulées et les grévistes l’ont emporté.
Un rassemblement de soutien a eu lieu devant la préfecture de l’Isère. La solidarité s’organise autour des femmes de ménage en grève contre des mutations arbitraires.
Le syndicat CGT d’ADF 38 (Aide à domicile aux familles et aux personnes de l’Isère) avait lancé un appel à la grève le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
Une manifestation grenobloise en présence des grévistes d’Elior-Derichebourg. A Salaise-sur-Sanne, rencontre débat sur la zone commerciale.
Depuis le 23 février, les salariées de la société Elior-Derichebourg se mobilisent contre la décision du groupe de supprimer douze postes. Le groupe est sous-traitant des services de l’État pour le nettoyage des locaux publics.