La banderole portée notamment par Marie-Noëlle Battistel, députée; Eric Piolle, maire de Grenoble; Guillaume Gontard, sénateur; Jérémie Iordanoff, député; et Olivier Véran, ministre délégué, chargé du Renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement.

Silencieux, le cortège s’est dispersé après une salve d’applaudissements, devant le monument en hommage aux déportés isérois, parc Paul Mistral.

« Pour la République, non à l’antisémitisme ». C’est derrière cette banderole que 4000 personnes ont défilé ce dimanche 12 novembre à Grenoble. Le cortège est parti de la place Victor Hugo pour rejoindre symboliquement le monument qui rend hommage aux déportés, à l’entrée du parc Paul Mistral.

L’appel à manifester à Grenoble avait été lancé par des parlementaires isérois de gauche, députés et sénateurs ainsi que certains Renaissance, à la suite de celui de la présidente de l’Assemblée nationale et du président du Sénat.

« Contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme », six partis de gauche dont le PCF avaient appelé à se joindre à cette marche.

De son côté, la France insoumise avait refusé de rejoindre le cortège en indiquant notamment : « nous refusons de marcher avec des haineux qui accablent les Français musulmans avec les pires mots. Ce deux poids deux mesures est insupportable et n’est pas digne de l’idéal de la République française. »

Grenoble Veynes Lus-la-Croix-haute
Collectif de l'étoile ferroviaire de Veynes

Retrouvez les dernières parutions de notre rubrique « Société »

Retrouvez les derniers dossiers de notre rubrique "Société"

« Des habitants sont venus nous demander des pétitions pour les faire circuler »

A Grenoble, pas moins de cinq bureaux de poste sur la sellette. Pour l’heure, ceux des Eaux claires et de Malherbe-Teisseire paraissent hors de danger. La fermeture de celui d’Alsace-Lorraine est annoncée. Stalingrad la Capuche et la Bajatière restent dans la ligne de mire du groupe La Poste. A Malherbe, la mobilisation de l’union de quartier a été décisive.

0 commentaire

Fête du TA. « Nous espérons bien nous poser là pour un nouveau cycle »

Une nouvelle équipe et des ambitions intactes. La fête du Travailleur alpin prend ses quartiers à Saint-Egrève, parc Marius Camet, devant l’hôtel de ville. Une édition 2024 qui retrouve l’herbe verte et les grands arbres avec une perspective, le centième anniversaire de sa création, en 1929. Entretien avec Adrien Guerre, son nouveau directeur.

0 commentaire

Le travail paysan, variable d’ajustement des marges de l’industrie et de la distribution

Vivre de son travail. D’un travail indispensable. C’est la revendication première des agriculteurs. Dans un pays où des millions de personnes n’ont pas accès à une nourriture saine en quantité nécessaire, c’est aujourd’hui un enjeu de société. Et plus des mutations incontournables liées au changement climatique et à la sauvegarde de la biodiversité.

0 commentaire

Pin It on Pinterest