Grenoble. La marche antiraciste de 1983 exposée à la Villeneuve

Une exposition à la Machinerie qui donnera lieu samedi à la projection d’un documentaire suivie d’une rencontre avec des témoins de cet événement.
Une exposition à la Machinerie qui donnera lieu samedi à la projection d’un documentaire suivie d’une rencontre avec des témoins de cet événement.
Le monde du spectacle isérois veut faire entendre la voix des Iraniens qui demandent la libération de deux rappeurs dont l’un a été condamné à mort par le régime.
Près d’un millier de personnes ont défilé dans les rues de Grenoble ce samedi 18 mai. Soixante-seize ans après, la Nakba continue : ça suffit !
Pour appeler à participer à la manifestation qu’organise l’AFPS samedi 18 mai à 14h30 rue Félix Poulat, le PCF avait choisi la place Nelson Mandela afin de rappeler le rôle que pourrait jouer le dirigeant palestinien Marwan Barghouti, emprisonné en Israël depuis 22 ans.
Devant la MC2, pour la libération de Toomaj Salehi et Saman Yasin (Seydi).
A l’appel du Collectif 17 octobre 1961 Isère, cent cinquante personnes ont commémoré les massacres commis dès le 8 mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, par un ordre colonial qui ne voulait pas accepter les aspirations à l’égalité des droits et à l’émancipation des Algériennes et Algériens.
Les organisations étudiantes UEG, Ourse, UNEF et UGA pour Gaza de l’université Grenoble Alpes appelaient mardi 30 avril à un sit-in devant Sciences Po Grenoble. L’AFPS 38 apportait son soutien.
Témoignages de ce qu’une vie sans papiers veut dire. Une assemblée organisée par le syndicat CGT des travailleurs sans papiers a permis l’expression publique de cette réalité d’aujourd’hui, tandis qu’il devient de plus en plus difficile d’obtenir le renouvellement de son titre de séjour, malgré des décennies de travail en toute légalité.
Ce samedi 27 avril, une cinquantaine de militants avaient répondu à l’appel de l’Association France Palestine solidarité.
La multiplication des arrestations de Palestiniens en Israël, souvent sous le régime de la détention administrative, sans inculpation et sans jugement, devient une arme utilisée contre toute la société palestinienne.
Soheir Assad, « Palestinienne de 48 », était à Grenoble le 29 mars dernier. Elle a présenté son combat devant la presse, en présence du sénateur Guillaume Gontard, avant d’animer une conférence débat à Saint-Martin‑d’Hères.
Ce samedi 30 mars quelques centaines de personnes ont manifesté dans les rue de Grenoble avec comme mot d’ordre : Halte au génocide à Gaza ! Sanctions contre Israël !
Dans le cadre d’une série d’événements sous le titre « le 8 mars et après » consacrés au féminisme, la ville de Seyssinet- Pariset inaugurait le 14 mars, en mairie, l’exposition “l’histoire du féminisme iranien”, prêtée par la ville de Grenoble.
Lors des prises de parole au départ de la rue Félix Poulat. Plusieurs centaines de manifestants, dont de nombreux jeunes ont répondu à l’appel de la CISEM (Coordination iséroise de solidarité avec les étrangers migrants) pour manifester à Grenoble, le 12 février, de la rue Félix Poulat à la place Pasteur. L’appel à cette manifestation […]
Un rassemblement a eu lieu le mardi 13 février en solidarité avec une famille qui compte deux enfants scolarisés et dont le père attend une régularisation pour pouvoir honorer des promesses d’embauche.
Face au drame que vivent quotidiennement la population gazaouie et les Palestiniens de Cisjordanie occupée, la solidarité est toujours au rendez-vous.
Après le saccage de l’entrepôt échirollois du Secours populaire, le Crédit mutuel a compté parmi les premiers donateurs.
Six cents personnes ont assisté à la conférence organisée par l’AFPS avec la participation de Salah Hamouri, avocat franco-palestinien, et Alain Gresh, ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique. Pour les intervenants, l’issue d’un conflit de plusieurs décennies passe par l’égalité des droits. Et un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Contrairement à ce que certains médias ont écrit, la conférence débat prévue le 31 janvier avec Salah Hamouri et Alain Gresh s’est déroulée comme prévu. Et ce malgré l’interdiction préfectorale notifiée à 19h15 tandis que l’ouverture des portes était annoncée depuis des semaines à 19h.
Samedi 27 janvier, rue Félix Poulat à Grenoble, des militants se sont retrouvés pour dénoncer publiquement l’exécution récente de deux Iraniens et la répression sanguinaire qui s’abat sur le peuple iranien.