Mardi 8 novembre – Le public est nombreux. Beaucoup de jeunes enfants et d’adolescent·es pour assister à la création de Maëlle Reymond. Pendant une heure, pas un bruit dans la salle, subjuguée par un spectacle qui joue résolument avec les codes d’univers différents : la danse classique, le cirque, le contorsionnisme. Pendant une heure, la danseuse et ses deux musiciens présents sur sur scène nous entraînent dans un univers baudelairien, cherchant à « extraire la beauté du mal ». L’art est souffrance.