Isère. Quand la gauche se parle

Retour sur la rencontre de représentants de l’ensemble des forces de gauche du département qui a eu lieu le 27 avril à l’initiative du PCF.
Retour sur la rencontre de représentants de l’ensemble des forces de gauche du département qui a eu lieu le 27 avril à l’initiative du PCF.
Dans un Nord-Isère marqué par les scores de l’extrême-droite, des responsables des Verts, du PCF, de Générations, du PS… appellent à des candidatures uniques aux législatives.
Pierre Labriet, candidat de gauche (PCF et FGR) dans la deuxième circonscription de l’Isère, était ce mardi 26 avril à Champagnier et Jarrie pour poser le problème d’une circulation invivable pour les habitants du pays vizillois, de Jarrie et de la Matheysine.
La démission de Pierre-Edouard Cardinal vient refermer la parenthèse ouverte par la tenue d’un congrès au cours duquel des personnes non adhérentes du Secours populaire avaient tenté de prendre le contrôle de sa fédération iséroise.
Pour exiger la libération de quatre jeunes Grenoblois.
En commentant le résultat de l’élection présidentielle, Jérémie Giono, secrétaire départemental du PCF, appelle à une rencontre des responsables politiques de la gauche iséroise. Il propose des candidatures rassemblées pour ne pas rejouer le scénario catastrophe de 2017 qui avait vu l’élection de neuf députés macronistes sur dix et la gauche absente de huit seconds tours sur dix.
Une soirée débat a réuni une centaine de personnes, le 15 avril à Saint-Maurice‑l’Exil, à l’invitation de l’union locale CGT de Roussillon Beaurepaire. Christophe Prudhomme et Eric May ont pu exposer l’intérêt des centres de santé comme réponse à un besoin, celui de l’accès à la santé pour tous, dans un contexte de crise majeure de la médecine libérale et hospitalière.
Un candidat de gauche unique dans chaque circonscription lors des prochaines élections législatives, c’est ce que demandent des élus issus de différents partis et mouvements de gauche isérois. Un appel lancé à l’initiative du mouvement Pour une écologie populaire et sociale Isère.
60 000 voitures à remplacer dans l’agglomération grenobloise d’ici le 1er janvier 2025. Dans deux ans et huit mois. Une mesure que le collectif estime inefficace pour résoudre le problème de la pollution et socialement très injuste.
La direction nationale du Secours populaire français a radié la fédération iséroise qui n’a désormais plus le droit d’utiliser le nom de « secours populaire ». Une association a été créée pour représenter l’organisation en Isère. Association seule habilitée aujourd’hui à distribuer les aides. « Nous voulions qu’à aucun moment les familles ne soient victimes de cette situation », souligne Claude Esclaine, membre du bureau national du SPF.