Mobilisation contre la casse du social et du médico-social
La CGT, Sud, la CNT et l'Unef appellent les salarié-e-s du social et du médico-social à trois jours de grève et de mobilisation. Au programme : manifestation de la DDETS à la préfecture en passant par le département, puis AG ; le lendemain, piquet de grève devant l'école Ocellia, rassemblement contre la répression anti-syndicale et les licenciements à l'APAJH, et rassemblement de soutien aux écoles occupées ; le troisième jour, rassemblement contre la casse de la protection de l'enfance, puis cortège du travail social à la Marche des solidarités.
Mardi, à 13h30, manifestation au départ de la DDETS, 1 avenue Marie-Reynoard, à Grenoble ; à 15h30, AG, Le Lieu, 17 rue Abbé-Grégoire. Mercredi, à partir de 8h, piquet de grève devant Ocellia, 3 avenue Victor-Hugo, à Échirolles ; à 14h, rassemblement devant le siège de l'APJH, 26 avenue Marcellin-Berthelot, à Grenoble ; à 15h30, rassemblement devant le département, 7 rue Fantin-Latour. Jeudi, à 14h, rassemblement devant le département ; à 18h, manifestation au départ de la rue Félix-Poulat.
16.12.25
Marche aux flambeaux en soutien aux familles sans-logis des écoles grenobloises
Des parents d'élèves et enseignants de la Villeneuve organisent une marche aux flambeaux à travers le parc Jean-Verlhac, en soutien aux familles sans-logis des écoles et collèges de Grenoble. La déambulation, aux rythmes de la BatukaVI, s'achèvera devant le collège Lucie-Aubrac.
Rendez-vous à 17h30 sur la place du marché de la Villeneuve, à Grenoble.
18.12.25
Manifestation de soutien aux personnes exilées
Plusieurs organisations appellent à une manifestation pour défendre les droits des personnes exilées et des sans-papiers, à l'occasion de la Journée internationale des migrant-e-s.
À partir de 17h, stands, musique et danse, soupe populaire, prises de parole ; à 18h30, départ de la manifestation, rue Félix-Poulat, à Grenoble.
18.12.25
Débat sur l'intérêt d'avoir "un maire progressiste en ruralité"
La liste Unis pour Saint-Marcellin (union de la gauche et des écologistes), conduite par Christophe Ghersinu et Élisabeth Pouech, organise un débat public sur le thème "Un maire progressiste en ruralité, en quoi ça change la vie concrètement ?". Avec la participation des maires de Jarcieu, Cognin-les-Gorges, Le Cheylas et Champagnier.
À 19h, salle polyvalente, 3 avenue de la Santé, à Saint-Marcellin.
Lyes Louffok est arrivé en tête, ce dimanche 12 janvier, au premier tour de la législative partielle dans la première circonscription de l'Isère. Le candidat du Nouveau Front populaire affrontera au second tour Camille Galliard-Minier (Ensemble-Renaissance), dimanche 19 janvier.
Lyes Louffok, candidat du NFP dans la première circonscription de l'Isère, était à l'affiche d'une réunion publique sur les droits des enfants, ce mercredi 8 janvier, à la Maison du tourisme de Grenoble. L'occasion de défendre ce sujet central dans sa campagne, à quelques jours du premier tour de la législative partielle, que le militant aborde avec confiance.
Mardi 5 novembre, à la salle Émile-Bert (ex-MDH Romain-Rolland), à Fontaine, les partis politiques constitutifs du Nouveau Front populaire invitaient à une réunion publique qui a attiré plus de 60 personnes. L’ambiance était à une écoute attentive, à l’expression d’un espoir de conquêtes sociales, d’unité à gauche et de débat.
À l'issue d'une réunion du PS, mardi 5 novembre au soir, Amandine Germain a annoncé le retrait de sa candidature pour la législative partielle dans la première circonscription de l'Isère. Les socialistes se rangent ainsi derrière Lyes Louffok, investi par LFI et désormais seul candidat du Nouveau Front populaire.
Lyes Louffok était en visite à Grenoble le premier week-end de novembre. Mais le candidat investi par LFI pour la législative partielle dans la première circonscription de l'Isère n'a pas encore reçu le feu vert officiel du Nouveau Front populaire, dont les partis devraient se prononcer cette semaine.
Réunis ce mercredi 30 octobre, à l'invitation du PCF, les partis du NFP présents se sont prononcés pour une candidature unique à la législative partielle dans la première circonscription de l'Isère. Désignée par le PS 38, Amandine Germain a ainsi assuré qu'elle ne serait pas une candidate dissidente. Et ce, alors que LFI - absente à la réunion - a investi Lyes Louffok, s'appuyant sur l'accord national.
Coup de théâtre ce vendredi 18 octobre au soir. Malgré le feu vert donné par les partis du NFP la veille, Lucie Castets a finalement annoncé qu'elle renonçait à se présenter à la législative partielle dans la première circonscription de l'Isère, les conditions n'étant, selon elle, « pas réunies ».
Visé par des accusations de violences sexistes et sexuelles, Hugo Prevost a enfin démissionné de son mandat de député, ce mardi 15 octobre. Une législative partielle se tiendra donc dans les trois mois, dans la première circonscription de l'Isère. Avec une incertitude à gauche. Si beaucoup militent en effet pour Lucie Castets, le PS Isère devrait, lui, se prononcer, ce jeudi 17 octobre, pour une candidature de la conseillère départementale Amandine Germain.
Depuis l’annonce de la démission d’Hugo Prevost, les spéculations vont bon train sur la candidature du NFP dans la première circonscription de l’Isère. Parmi les noms cités, celui de Lucie Castets.
Les parlementaires de gauche isérois et l’intersyndicale des hôpitaux du département se sont réunis à Grenoble pour évoquer la crise du système de santé.