Inauguration du local de campagne de la liste de gauche conduite par Laurence Ruffin
La liste de la gauche sociale et écologiste à l'élection de mars prochain vous invite à l'inauguration de son local de campagne.
11h30, 1 rue du président Carnot, Grenoble (entre la place Notre-Dame et la place Sainte-Claire).
13.12.25
Transports. "Gratuit un jour, gratuit toujours"
Le samedi 13 décembre, les transports publics seront gratuits à Grenoble. Le collectif pour la gratuité des transports en profitera pour distribuer sa lettre au Père Noël, avec copie au président de la métropole et à celui du syndicat des transports pour réitérer la demande de gratuité... tous les jours. Au programme, distribution et animations.
De 15h à 17h, arrêt de tram Victor Hugo
16.12.25
18.12.25
Mobilisation contre la casse du social et du médico-social
La CGT, Sud, la CNT et l'Unef appellent les salarié-e-s du social et du médico-social à trois jours de grève et de mobilisation. Au programme : manifestation de la DDETS à la préfecture en passant par le département, puis AG ; le lendemain, piquet de grève devant l'école Ocellia, rassemblement contre la répression anti-syndicale et les licenciements à l'APAJH, et rassemblement de soutien aux écoles occupées ; le troisième jour, rassemblement contre la casse de la protection de l'enfance et en soutien à la lutte des mineurs non accompagnés, puis cortège du travail social à la Marche des solidarités.
Mardi, à 13h30, manifestation au départ de la DDETS, 1 avenue Marie-Reynoard, à Grenoble ; à 15h30, AG, Le Lieu, 17 rue Abbé-Grégoire. Mercredi, à partir de 8h, piquet de grève devant Ocellia, 3 avenue Victor-Hugo, à Échirolles ; à 14h, rassemblement devant le siège de l'APJH, 26 avenue Marcellin-Berthelot, à Grenoble ; à 15h30, rassemblement devant le département, 7 rue Fantin-Latour. Jeudi, à 14h, rassemblement devant le département ; à 18h, manifestation au départ de la rue Félix-Poulat.
16.12.25
Marche aux flambeaux en soutien aux familles sans-logis des écoles grenobloises
Des parents d'élèves et enseignants de la Villeneuve organisent une marche aux flambeaux à travers le parc Jean-Verlhac, en soutien aux familles sans-logis des écoles et collèges de Grenoble. La déambulation, aux rythmes de la BatukaVI, s'achèvera devant le collège Lucie-Aubrac.
Rendez-vous à 17h30 sur la place du marché de la Villeneuve, à Grenoble.
Philippe Poutou est venu soutenir les salariés de Vencorex sur le piquet de grève, ce lundi 18 novembre, sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix. L'occasion pour le porte-parole du NPA - l'Anticapitaliste de dénoncer les plans de licenciements et fermetures d'usine survenus récemment, tout en lançant un appel à l'unité pour mener la lutte et proposer des alternatives.
Les représentants syndicaux de Vencorex ont distribué des tracts, vendredi 15 novembre, devant Framatome, sur la plateforme chimique de Jarrie. Des entreprises dont les activités sont fortement interdépendantes, à l'instar de l'ensemble de la chimie du sud grenoblois. Les salariés de Vencorex accueilleront par ailleurs ce lundi 18 novembre Philippe Poutou, qui viendra les soutenir sur le piquet de grève, à Pont-de-Claix.
La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet est venue soutenir les salariés de Vencorex sur leur piquet de grève, ce jeudi 7 novembre, sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix. Elle a fait de l'entreprise, placée en redressement judiciaire, le symbole d'une « faillite organisée », taclant à la fois l'État et le patronat.
Entre 700 et 800 personnes se sont réunies ce mercredi 30 octobre devant la plateforme chimique de Pont-de-Claix, bloquée depuis une semaine. Les salariés en grève de Vencorex, soutenus par des élus locaux et des camarades d'autres entreprises, ont ensuite défilé dans les rues de la ville, déterminés à sauver leurs emplois et plus largement l'industrie de la chimie.
Une seule offre de reprise a été déposée pour Vencorex et ce, pour une activité unique, l'atelier de tolonates. L'entreprise hongroise BorsodChem ne garderait ainsi que 25 emplois sur un total de 465. Réunis en assemblée générale ce mercredi 23 octobre, les salariés ont donc voté une grève illimitée et commencé à bloquer, le jour même, la plateforme chimique de Pont-de-Claix.
Près de 700 personnes ont manifesté ce mardi 1er octobre à Pont-de-Claix, à l’appel de l’intersyndicale, pour soutenir les salariés de Vencorex, placée en redressement judiciaire le 10 septembre. L’enjeu ? Sauver les emplois et l’usine, mais aussi, plus globalement, les deux plateformes chimiques du sud grenoblois. Et ce, alors que les repreneurs potentiels ont jusqu’au 17 octobre pour déposer leur offre.
L'assemblée générale sur Vencorex a réuni ce vendredi 20 septembre, au foyer municipal de Pont-de-Claix, 250 personnes, venues écouter les représentants de la CGT, de la CFDT et de la CFE-CGC ainsi que Christophe Ferrari. Le maire et président de la Métropole a annoncé à cette occasion le lancement d'une pétition pour sauver les emplois et la plateforme chimique. Les syndicats ont, eux, évoqué les prochaines échéances, comme la manifestation du 1er octobre ou la date limite pour les candidats à la reprise, fixée au 17 octobre. Des repreneurs potentiels qui, à l'instar d'Arkema ou des Salins du Midi, peinent à convaincre les salariés, aussi déterminés que dépités.
Deux jours après le placement en redressement judiciaire de Vencorex, le collectif des syndicats CGT s'est réuni, ce jeudi 12 septembre, à l'union départementale, à Grenoble. L'occasion d'établir un "plan de bataille" impliquant salariés des plateformes chimiques de Pont-de-Claix et Jarrie, habitants, élus locaux et pouvoirs publics. La CGT appellera ainsi à la grève le 1er octobre, ainsi qu'à une grande manifestation à Pont-de-Claix, à laquelle sont conviés les salariés des industries chimiques de la France entière. Mais avant cela, les représentants syndicaux seront reçus à Bercy, ce lundi 16 septembre.
Faisant face à des pertes supérieures aux prévisions, Vencorex va se déclarer en cessation de paiements, vendredi 6 septembre 2024, devant le tribunal de Lyon, prélude à un probable redressement judiciaire. Une procédure qui pourrait avoir de lourdes conséquences, non seulement sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix mais également pour Arkema et Framatome, sur le site de Jarrie.
Comme nous vous l’indiquions dans le Travailleur alpin de juin 2024, la CGT a constitué un collectif syndical commun à l’ensemble des entreprises chimiques de Pont-de-Claix, Jarrie, Alpes-de-Haute-Provence, pour agir en faveur de la pérennité des productions, dans le respect de la sécurité et de l’environnement. Ce collectif a dernièrement invité le sénateur Guillaume Gontard à Arkema Jarrie afin de lui exposer les enjeux et conséquences dramatiques associés à une éventuelle fermeture de Vencorex Pont-de-Claix.