Fin de la grève à Vencorex

La grève avait débuté le 23 octobre. La CGT a signé le 24 décembre un protocole de fin de conflit avec la direction, texte amélioré par rapport à ce que la CFDT et la CFE-CGC avaient accepté une semaine plus tôt.
La grève avait débuté le 23 octobre. La CGT a signé le 24 décembre un protocole de fin de conflit avec la direction, texte amélioré par rapport à ce que la CFDT et la CFE-CGC avaient accepté une semaine plus tôt.
Dans le cadre de la journée nationale appelée par la fédération Spectacle CGT pour dénoncer l’austérité budgétaire, un rassemblement s’est tenu le jeudi 19 décembre, rue Félix Poulat à Grenoble.
Quarante-huit parlementaires et chefs de parti (dont Fabien Roussel, Jean-Luc Mélenchon, Marine Tondelier ou Olivier Faure) ont signé un courrier, adressé ce mardi 17 décembre à François Bayrou, concernant la situation de Vencorex. Ils demandent au Premier ministre la nationalisation temporaire de l'entreprise, dont les salariés sont en grève depuis le 23 octobre, sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix.
À l’appel des unions locales CGT de Villefontaine et de Bourgoin-Jallieu, des rassemblements se sont tenus ce jeudi 12 décembre devant les entreprises Valeo et Thermo Fisher, dans le cadre de la journée nationale d’action organisée par la CGT pour défendre l’industrie et les services publics.
Des salariés de plusieurs entreprises menacées (Vencorex, Arkema, Atos...) se sont rassemblés devant la préfecture de l'Isère, ce jeudi 12 décembre, à l'occasion de la journée de mobilisation nationale pour la défense de l'industrie. Celle-ci s'est poursuivie sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix, à l'initiative de l'intersyndicale (CGT, CFDT, CFE-CGC), avec la venue sur le piquet de grève du député et coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard et du député européen socialiste Pierre Jouvet, accompagnés d'élus locaux.
Plusieurs syndicats appellent à une journée de mobilisation nationale pour sauver les emplois industriels et les services publics, ce jeudi 12 décembre. Pour la CGT Isère, rejointe par Solidaires, la FSU et la CNT, il s'agit de construire un "front syndical public-privé", tout en exigeant un moratoire sur les licenciements. Au programme notamment : manifestation à Grenoble, rassemblement devant la préfecture et pique-nique solidaire sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix.
Réunis en assemblée générale ce lundi 9 décembre, les salariés d'Arkema Jarrie ont voté la reprise du travail, mettant ainsi fin provisoirement à la grève débutée jeudi 5 décembre. Ils maintiennent toutefois un piquet de grève à l'entrée de la plateforme chimique et prévoient des AG tous les trois jours, sans exclure de relancer le mouvement. Le personnel reste en effet très inquiet de l'arrêt de la partie sud du site, conséquence des difficultés de Vencorex.
Plusieurs unions locales CGT organisaient un rassemblement ce vendredi 6 décembre, à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, devant la permanence du député LR de l'Isère Yannick Neuder, rapporteur du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) avant la censure du gouvernement. L'occasion de rappeler leurs revendications, malgré le flou entourant désormais le budget.
La direction d'Arkema a décidé de mettre à l'arrêt une partie de son site de Jarrie. En cause, l'arrêt de la fourniture de sel par Vencorex, usine du Pont-de-Claix en redressement judiciaire. A plus ou moins court terme, c'est l'ensemble du site Arkema-Jarrie qui est sur la sellette. Et, par ricochet, toute la chimie de la région grenobloise. Une table ronde s'est réunie ce 5 décembre, assoiant services de l’État et élus locaux. La grève a été votée et une nouvelle assemblée générale aura lieu le lundi 9 décembre pour décider des suites du mouvement.
Ce jeudi 5 décembre, à l’appel de l’ensemble des syndicats, les fonctionnaires et agents publics étaient appelés à cesser le travail et manifester contre les attaques dont ils sont victimes dans le projet de budget préparé par le gouvernement de Michel Barnier. Malgré la chute de celui-ci la veille, la mobilisation a été importante à Grenoble, comme dans tout le pays.
Le syndicat CGT des travailleurs sans papier avec une série d’associations (*), réunissait plusieurs centaines de personnes le jeudi 4 décembre à 11h place de Verdun devant la préfecture de Grenoble.
Près de 200 personnes se sont rassemblées ce mardi 3 décembre à Grenoble, à l'appel de différents syndicats, pour défendre les retraites et exiger une juste revalorisation des pensions. Des manifestants qui s'opposent aux économies faites sur le dos des retraité·e·s.
Dans le cadre du vaste plan de restructuration « Valeo Power » présenté en avril 2024, le groupe sabre dans l’emploi en France, avec notamment 238 postes supprimés à Saint-Quentin-Fallavier (Isère), a-t-il annoncé mercredi 27 novembre. L’équipementier automobile délocalise en Turquie sa recherche et sa production.
Vencorex, Valeo, Photowatt, Logiplast-Team Tex… En Isère, nombre d’usines et de salariés sont frappés de plein fouet par la casse de l’industrie française, qui semble s’accélérer en cette fin d’année 2024. Malgré ce scénario catastrophe, les communistes comme les syndicats proposent des pistes pour tenter de surmonter cette crise.
Les livreurs à vélo disposent d’un local, mis à leur disposition par la ville de Grenoble. De quoi s’abriter entre deux courses, pendant des temps d’attente qui ne sont pas payés par leurs employeurs réels, les plateformes comme Uber ou Deliveroo.
Le 59e congrès de l’UD CGT Isère s’est tenu du 20 au 22 novembre à l’Heure bleue, à Saint-Martin-d’Hères. Les 188 délégués présents ont élu une nouvelle commission exécutive, Nicolas Benoit étant reconduit à son poste de secrétaire général. Les résolutions votées illustrent quant à elles un agenda social chargé, avec de nombreuses luttes à venir pour le syndicat.
En déplacement dans l'agglomération grenobloise ce mardi 26 novembre, Fabien Roussel s'est rendu sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix. Le secrétaire national du PCF est venu soutenir les salariés de Vencorex, en grève illimitée depuis le 23 octobre, et échanger avec eux sur la suite du mouvement.
Les élections professionnelles dans les entreprises de moins de onze salariés auront lieu du 25 novembre au 9 décembre. Un enjeu majeur pour le calcul de la représentativité syndicale.
Philippe Poutou est venu soutenir les salariés de Vencorex sur le piquet de grève, ce lundi 18 novembre, sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix. L'occasion pour le porte-parole du NPA - l'Anticapitaliste de dénoncer les plans de licenciements et fermetures d'usine survenus récemment, tout en lançant un appel à l'unité pour mener la lutte et proposer des alternatives.
Saisi en référé par les salariés de la clinique du Dauphiné, à Seyssins, le tribunal administratif de Grenoble a suspendu, samedi 16 novembre, l'exécution de l'arrêté préfectoral de réquisition du personnel. Celui-ci permettait de réquisitionner des infirmiers et aides-soignants durant le mouvement de grève débuté lundi 11 novembre. Une atteinte au droit de grève, selon les requérants, qui savourent cette première victoire et poursuivent leur mobilisation.