Le jour de la panthéonisation du couple de résistants des FTP-MOI, un hommage leur a été rendu par la ville de Vienne.

La ville de Vienne, commune où réside une forte communauté arménienne depuis les années 1920, quand les entreprises de chaussures viennoises avaient besoin de main d’œuvre, organisait un hommage à Missak et Mélinée Manouchian ce 21 février jour de la panthéonisation sur le square portant son nom  en présence de la consule générale d’Arménie.

Dans la lettre de Missak à sa femme la veille de son exécution, il écrivait :  » Aujourd’hui il y a du soleil ». Ce matin de 2024 la météo se répète.

Le discours du maire de Vienne retraçait l’engagement du couple et de leurs camarades de combat, mais se gardait bien d’évoquer l’engagement communiste de ces résistants.

Une forte délégation du PCF était présente et représentée parmi les officiels par Eric Hours, élu régional.

Après un dépôt de gerbes, la cérémonie s’est terminée par un chant arménien.

Daniel Oriol

Syndicats retraites Vizille Nupes

Sur le même sujet

Retrouvez les dernières parutions de notre rubrique « Politique »

Retrouvez nos articles de la rubrique politique dans ces dossiers

La majorité grenobloise à la recherche d’un second souffle

Mi-mandat pour l’équipe municipale grenobloise. Interrogations sur son fonctionnement et son avenir. Et projets en cours et à venir. Comment les différentes sensibilités de la gauche majoritaire envisagent-elles les deux ans qui viennent ? Comment construire l’après Éric Piolle qui a fait part de son intention de ne pas briguer un troisième mandat ? Décryptage.

0 commentaire

France insoumise. Comment ça marche en Isère

Comment fonctionne la France insoumise ? Pas comme d’autres partis, assurément. Entre centralisme de fer et état gazeux d’un réseau social, entre décisions parisiennes opaques et multiplication des échanges horizontaux… Etat des lieux, avec des militants qui font vivre le mouvement en Isère, au cœur d’une nébuleuse qui se cherche une architecture.

0 commentaire
CGT Grenoble Isère

Génération urgence

L’engagement au sein d’une organisation politique, d’un syndicat, d’une association, quand on a moins de trente ans ? Ca existe. Dans des formes d’aujourd’hui. Et un contexte difficile. Tour d’horizon avec quatre militants. Tous décrivent le sentiment d’urgence qui habite la jeunesse. Au moment où le mouvement social témoigne de sa vitalité.

0 commentaire

Pin It on Pinterest