Pétitions, tracts, débats… notre santé n’est pas à vendre. Les communistes étaient devant l’hôpital sud, ce jeudi 18 février.

Dans le cadre de la campagne européenne les militants-es communistes étaient nombreux/ses ce jeudi après midi 18 février pour distribuer deux tracts et faire signer la pétition intitulée « Pas de profit sur la pandémie ».

Le premier tract, « par amour de l’humanité des vaccins sans brevet », dénonce la logique des brevets qui privatise les vaccins pour assurer les profits des entreprises du big pharma ce qui empêche de produire le vaccin à la hauteur des besoins.

Faire du vaccin un bien public mondial, voilà ce que réclament les communistes.

Ce vaccin, qui a largement été financé par de l’argent public, doit tomber dans le domaine public pour que les états puissent le produire en masse et vacciner le plus rapidement possible la population et nous permettre de sortir de cette crise sanitaire.

Le deuxième tract distribué, « notre santé n’est pas à vendre », traite du Ségur de la santé. Le titre : « Les comptes ne sont pas bons, M. le ministre. »

Les militants-es communistes ont invité les personnes rencontrées à signer la pétition d’initiative citoyenne (*) avec comme but d’atteindre le million de signatures en Europe dont environ 100 000 en France, d’ici le 30 novembre de cette année.

Maryvonne Mathéoud

• Cette pétition peut être signée en ligne sur ce lien

A la rencontre des personnels et des usagers de l’hôpital.

Notre santé n’est pas à vendre : l’affichette de la campagne de débats que propose les communistes.

Débats et signatures.

Les militants communistes sur le terrain.

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