La colère s’exprime dans la rue
Des dizaines de milliers de manifestants dans tout le département. La mobilisation s'amplifie face au "musée des horreurs" que constitue le budget avancé par le gouvernement.
Des dizaines de milliers de manifestants dans tout le département. La mobilisation s'amplifie face au "musée des horreurs" que constitue le budget avancé par le gouvernement.
Une marée humaine (près de 30 000 personnes selon les organisateurs, dont une grande majorité de jeunes) a déferlé dans les rues de Grenoble, ce mercredi 10 septembre, lors de la manifestation prévue dans le cadre du mouvement "Bloquons tout". Le point d'orgue d'une journée débutée par de nombreux blocages, dans l'agglomération grenobloise et ailleurs en Isère. Et une mobilisation amenée à se poursuivre dans les prochains jours.
Un millier d'agents de la fonction publique ont manifesté ce mardi 13 mai à Grenoble, à l'appel de l'intersyndicale, dans le cadre de la journée nationale de grève et de mobilisation contre les économies prévues par le gouvernement dans le budget 2026. Dénonçant les coupes budgétaires, les manifestants réclamaient également de meilleures rémunérations et des créations d'emplois. Malheureusement, la manifestation s'est terminée par l'interpellation de deux enseignants, placés en garde à vue pour "outrage" en raison d'une banderole visant Bruno Retailleau.
Près de 400 personnes se sont retrouvées à Bourgoin-Jallieu, ce jeudi 1er mai, pour un défilé placé sous le signe de la paix et du refus de l’économie de guerre et de la course aux armements engagée par l’Union européenne.
Près de 5 000 personnes ont défilé ce jeudi à Grenoble pour la manifestation du 1er Mai. Avec en toile de fond, un lourd contexte local, national et international. D'où les revendications affichées par l'intersyndicale iséroise, qui appelait à se mobiliser "contre l’économie de guerre, pour la paix, la retraite à 60 ans, les services publics et l’industrie".
Ce jeudi 5 décembre, à l’appel de l’ensemble des syndicats, les fonctionnaires et agents publics étaient appelés à cesser le travail et manifester contre les attaques dont ils sont victimes dans le projet de budget préparé par le gouvernement de Michel Barnier. Malgré la chute de celui-ci la veille, la mobilisation a été importante à Grenoble, comme dans tout le pays.
Près de 200 personnes se sont réunies, ce jeudi 17 octobre, place Edmond-Arnaud, à Grenoble, en hommage aux victimes algériennes du massacre colonial du 17 octobre 1961. Un rassemblement suivi d'un défilé jusqu'à la passerelle Saint-Laurent.
Un an après les attaques du 7 octobre, un cortège fourni à défilé ce samedi 5 octobre, à Grenoble comme partout en France, à l'appel du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI). Des manifestants qui ont affiché leur solidarité avec les peuples palestinien et libanais, tout en réclamant un cessez-le-feu au Moyen-Orient et des sanctions contre Israël.
Grenoble, Bourgoin-Jallieu, Voiron… En parallèle de la manifestation pour Vencorex à Pont-de-Claix, des milliers de personnes ont défilé en Isère pour la journée de grève du mardi 1er octobre, à l’appel de la CGT, Solidaires et FSU.
Près de 700 personnes ont manifesté ce mardi 1er octobre à Pont-de-Claix, à l’appel de l’intersyndicale, pour soutenir les salariés de Vencorex, placée en redressement judiciaire le 10 septembre. L’enjeu ? Sauver les emplois et l’usine, mais aussi, plus globalement, les deux plateformes chimiques du sud grenoblois. Et ce, alors que les repreneurs potentiels ont jusqu’au 17 octobre pour déposer leur offre.