Un collectif d'habitants appelle à un rassemblement pour demander à la préfecture, à la justice et à la municipalité un plan d'action contre le narcotrafic. Il appelle les participants à se munir d'un drapeau blanc. L'initiative est soutenue par la FCPE.
À 15 heures, place Saint-Bruno à Grenoble, à l'arrière de la dragonne.
25.11.24
09.12.24
Élections dans les très petites entreprises (TPE)
Cinq millions de salariés sont concernés. Ces élections déterminent le poids de chaque organisation syndicale, notamment dans les négociations des conventions collectives. Ces élections sont prises en compte dans le calcul de la représentativité syndicale nationale.
Le vote a lieu en ligne ou par courrier.
26.11.24
Pour un commissariat à Echirolles
Rassemblement citoyen pour un commissariat de police de plein exercice à Échirolles
À 12 heures, sur le parvis de l'Hôtel de Ville, 1 place des Cinq Fontaines, Échirolles.
26.11.24
Fabien Roussel dans l'agglomération grenobloise
Narcotrafic, insécurité : les propositions du PCF
12h : participation au rassemblement pour un commissariat à Echirolles. 14h : rencontre quartier Renaudie à Saint-Martin-d'Hères, allée Jean Wiener. 16h30 : soutien aux grévistes de Vencorex, entrée de la plateforme chimique au Pont-de-Claix. 18h15 : meeting à Fontaine, halle du marché, mail Marcel Cachin.
Comme nous vous l’indiquions dans le Travailleur alpin de juin 2024, la CGT a constitué un collectif syndical commun à aux entreprises chimiques de Pont-de-Claix, Jarrie, Alpes-de-Haute-Provence. Ce collectif a invité le sénateur Guillaume Gontard afin de lui exposer les enjeux d’une éventuelle fermeture de Vencorex Pont-de-Claix.
Atos, l’entreprise qui gère l’informatique des JO de Paris ou les données médicales de la Sécu, a été reprise début juin par un groupement emmené par David Layani, P-DG de l’entreprise Onepoint. Une opération à plusieurs milliards dans laquelle l’État s’est finalement impliqué en annonçant la prise de contrôle de certaines activités.
Marc Dorel, ingénieur à Moirans, est candidat sur la liste conduite présentée par le PCF aux élections européennes. Outre les enjeux démocratiques d’un fonctionnement de l’Union européenne aujourd’hui confisqué aux peuples, il met en cause des stratégies industrielles soumises aux marchés financiers et contraires aux intérêts de la France et du monde.
La CGT appelait le vendredi 12 janvier à une grève reconductible. Le syndicat dénonce la politique mise en place depuis le rachat du groupe Fruité entreprises dont fait partie le site de Teisseire à Crolles.
Le Conseil national de l’énergie organisait le 8 juin une rencontre débat à Grenoble. Autour d’une idée centrale : l’impératif d’une augmentation de la production d’électricité impose la constitution d’un pôle public de l’énergie et le développement de filières industrielles.
L’État met la main à la poche pour 2,9 milliards d’euros. Il finance ainsi le projet d’extension de l’usine ST Micro de Crolles. Un développement conçu comme un partenariat avec l’entreprise américaine GlobalFondries. Mais au fait, que fait donc GlobalFondries ?
Débrayage de deux heures, massivement suivi sur le site grenoblois de HP France, ce 24 janvier. La direction de la filiale française de la multinationale américaine souhaite quitter la convention collective de la métallurgie pour celle du commerce de gros. Ce que refusent les salariés, ingénieurs et cadres pour l’essentiel.
Lundi 24 octobre, Fabien Roussel était dans le Nord-Isère. Il s’est rendu à Bourgoin-Jallieu visiter l’usine Photowatt, rencontrer les personnels et discuter avec leurs représentants syndicaux, avant de répondre aux questions de la salle au cours d’une réunion publique à laquelle deux cents personnes ont participé.
Aides publiques, développements suivis de délocalisations… à Saint-Quentin-Fallavier, les syndicalistes CGT de Valeo dénoncent une stratégie industrielle qui, sous couvert de perspectives dans la motorisation électrique, conduit à la dévitalisation des sites français.
5,7 milliards d’euros d’investissement à Crolles, pour accroître les capacités de production de ST Microelectronics. Heureuse nouvelle annoncée cet été. On aurait gagné du temps – et de l’argent – si la voix des salariés avait été mieux entendue. Pour assurer l’avenir, la CGT propose de bâtir une filière européenne de la microélectronique.