Sud Grésivaudan. Les précurseurs du Printemps isérois

Par Travailleur Alpin

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Christophe Ghersinu (PCF), candidat titulaire du Printemps isérois avec Brigitte Briel (Génération.s) dans le canton du Sud Grésivaudan (Vinay Pont-en-Royans).

C’était il y a quatre ans. 2015, élections départementales. Et dans le Sud Grésivaudan, la gauche se présente unie dès le premier tour : deux candidats titulaires, deux remplaçants, représentants les Verts, le PCF, le Parti de gauche et un candidat citoyen.

Et c’est la formule qui a été reprise, cette année, dans tous les cantons de l’Isère : le Sud Grésivaudan avait inventé le Printemps isérois et ses candidatures uniques de la gauche rassemblée dès le premier tour et qui peut aujourd’hui espérer l’emporter.

Pour cette élection des 20 et 27 juin, Christophe Ghersinu prend la suite de Bernard Lambert pour le PCF. Lui et ses colistier(e)s ont le soutien de toutes les forces écologistes et progressistes du territoire. A Saint-Marcellin, Vinay et Pont-en-Royans, les appels  se multiplient.

Le contexte est certes marqué par la pandémie. Mais aussi par les luttes. Des centaines de personnes ont marché pour le climat le 9 mai dernier. Chez Legrand, à l’appel de la CGT, un mouvement de grève pour les salaires a été suivi par 90 % du personnel. A la SNCF, à la Poste, dans les Ehpad comme à l’hôpital  les personnels défendent nos services publics.

Le scrutin des 20 et 27 juin sera une bonne occasion. Celle de soutenir ce mouvement.

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La CGT a organisé en avril à Saint-Marcellin un bureau d’embauche symbolique pour débattre des besoins en emplois à satisfaire dans le secteur de la santé.

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