Un collectif d'habitants appelle à un rassemblement pour demander à la préfecture, à la justice et à la municipalité un plan d'action contre le narcotrafic. Il appelle les participants à se munir d'un drapeau blanc. L'initiative est soutenue par la FCPE.
À 15 heures, place Saint-Bruno à Grenoble, à l'arrière de la dragonne.
25.11.24
09.12.24
Élections dans les très petites entreprises (TPE)
Cinq millions de salariés sont concernés. Ces élections déterminent le poids de chaque organisation syndicale, notamment dans les négociations des conventions collectives. Ces élections sont prises en compte dans le calcul de la représentativité syndicale nationale.
Le vote a lieu en ligne ou par courrier.
26.11.24
Pour un commissariat à Echirolles
Rassemblement citoyen pour un commissariat de police de plein exercice à Échirolles
À 12 heures, sur le parvis de l'Hôtel de Ville, 1 place des Cinq Fontaines, Échirolles.
26.11.24
Fabien Roussel dans l'agglomération grenobloise
Narcotrafic, insécurité : les propositions du PCF
12h : participation au rassemblement pour un commissariat à Echirolles. 14h : rencontre quartier Renaudie à Saint-Martin-d'Hères, allée Jean Wiener. 16h30 : soutien aux grévistes de Vencorex, entrée de la plateforme chimique au Pont-de-Claix. 18h15 : meeting à Fontaine, halle du marché, mail Marcel Cachin.
Quelque 300 personnes ont défilé dans les rues de Grenoble ce samedi 15 octobre à l’appel de la Voix de l’Iran comité de Grenoble avec le soutien de : LDH Grenoble Métropole, LDH Iran, Cercle Laïque, AIAK (Association iséroise des amis des Kurdes), la CISEM, Ensemble Isère, NPA 38, PCF Isère, CGT…
Des manifestations monstres déclenchées par la mort de Mahsa Amini, une jeune femme kurde iranienne de 22 ans se sont développées en Iran. Elle a été arrêtée par la police des mœurs et assassinée pour une mèche de cheveux qui dépassait de son foulard. La révolte rentre dans sa quatrième semaine. La détermination des protestataires n’a pas faibli. Les manifestant-e-s scandent : « Femme, vie, liberté ! »« C’est notre avertissement, c’est le régime que nous visons », « Malgré la répression sanguinaire, la lutte continue » . « A bas la République islamique d’Iran ! »…
Le guide suprême de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, vient-il de donner le feu vert à une répression sans merci ? Mercredi, celui qui ne s’était exprimé qu’une fois depuis le début des manifestations, le 16 septembre, a lancé : « Les actions de l’ennemi, telles que la propagande, les tentatives d’influencer les esprits, de créer de l’excitation, d’encourager et même d’enseigner la fabrication de matériaux incendiaires, sont maintenant complètement claires. » Et d’asséner : « Les autorités judiciaires et de sécurité doivent faire leur devoir vis-à-vis des « agents de l’ennemi ». Des milliers de personnes ont déjà été arrêtées et des centaines tuées. Les manifestations sont durement réprimées, et même les enfants sont victimes de la brutalité du régime. Certains seraient détenus dans des centres chargés de les « rééduquer », d’après les autorités et des ONG.
Cette répression est particulièrement sévère au Kurdistan, région d’où est originaire Mahsa Amini, Il est important de dire que Mahsa Amini était kurde, et que ce n’est sans doute pas étranger à la brutalité avec laquelle elle a été traitée. Rappelons que les Kurdes iraniens sont traités avec une grande brutalité, avec des militants qui sont régulièrement emprisonnés et exécutés. La mort de Mahsa Amini est aussi le symbole de la répression que subissent les Kurdes en Iran. Le régime iranien le sait bien, lui qui n’hésite pas à bombarder les Kurdes en Irak. Téhéran visait des groupes armés de l’opposition kurde iranienne, très critique vis à vis de la répression des manifestations dans la République islamique.
La porte parle de la voix de l’Iran comité de Grenoble lance un nouvel appel aux militants des droits de l’homme partout dans le monde à soutenir les luttes du peuple iranien ; demande au gouvernement français de cesser le silence et de condamner les violences du gouvernement islamiste.