Haut Grésivaudan. Pour un département solidaire et écologiste

Par Travailleur Alpin

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Joël Marseille est le candidat communiste au sein du quadrinome présenté par le Printemps isérois dans le Haut Grésivaudan.

Le Printemps isérois joue la diversité de ses composantes, dans le canton du Haut Grésivaudan. Une richesse dont témoigne une campagne qui prend son envol, dans les conditions difficiles qu’impose la crise sanitaire.

Dans le can­ton du Haut Gré­si­vau­dan, les com­mu­nistes sont pré­sents dans le qua­dri­nôme des candidat.e.s : Joël Mar­seille du PCF est le rem­pla­çant de Franck Pour­chon (EELV), tan­dis que Cécile Lacroix (LFI) joue le même rôle auprès de la titu­laire Flo­rence Gues­don (Génération.s).

Depuis plus d’un mois, le comi­té de cam­pagne tra­vaille à l’organisation admi­nis­tra­tive et mili­tante de la cam­pagne : un véri­table défi alors que les condi­tions sani­taires sont tou­jours très contrai­gnantes et l’espace média­tique réser­vé aux élec­tions dépar­te­men­tales qua­si inexis­tant.

Le tra­vail de conver­gence poli­tique ini­tié au niveau dépar­te­men­tal, se véri­fie chaque jour dans les échanges. Chaque sen­si­bi­li­té poli­tique, dans le res­pect de ses par­te­naires, met en relief tel ou tel axe du Prin­temps isé­rois : qui la ques­tion des ser­vices publics et des soli­da­ri­tés, qui les pro­blé­ma­tiques de l’émancipation autour de la culture et de l’éducation ; un tel pro­pose une ren­contre autour de la conver­sion de l’économie tou­ris­tique de mon­tagne ou de l’agriculture de plaine, tan­dis qu’une autre s’empare du sujet du han­di­cap et de l’autonomie…

Quatre réunions publiques

Toute cette effer­ves­cence abou­tit à la construc­tion d’un col­lec­tif et d’une dyna­mique de cam­pagne où cha­cune et cha­cun trouve sa place à éga­li­té d’intervention et d’écoute. Car les acteurs de la cam­pagne prennent plai­sir à mili­ter ensemble pour une véri­table trans­for­ma­tion des poli­tiques sociales, éco­lo­giques et démo­cra­tiques du dépar­te­ment de l’Isère. Ain­si deux ren­contres débats ont été orga­ni­sées en « visio », ouvertes aux signa­taires du Prin­temps isé­rois et au-delà. Une troi­sième est en pré­pa­ra­tion.

Autour de ces can­di­da­tures, les sou­tiens mili­tants de chaque sen­si­bi­li­té s’activent et à quelque trois semaines du pre­mier tour, l’équipe s’est décon­fi­née et irrigue le ter­ri­toire : dis­tri­bu­tion de tracts sur les prin­ci­paux mar­chés, dans les gares de la val­lée, confé­rence de presse et réunions publiques (quatre sont pré­vues) et autres col­lages d’affiches se suc­cèdent avec l’appui des mili­tants locaux.

« Nous croyons et nous tra­vaillons à la construc­tion de ce dépar­te­ment pion­nier de la révo­lu­tion sociale, éco­lo­gique et démo­cra­tique dont notre can­ton et… notre pays ont tant besoin. »

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