Justice sociale, hôpital, libertés…1500 manifestants en colère

Par Edouard Schoene

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Jeu­di 26 novembre dans l’obscurité de la nuit, place de Ver­dun à Gre­noble, 1500 mani­fes­tants en colère ont écou­té une ving­taine d’orateurs, repré­sen­tants les orga­ni­sa­tions qui appe­laient à mani­fes­ter devant la pré­fec­ture.
La dénon­cia­tion des vio­lences poli­cière a été vive­ment applau­die aux len­de­mains d’actions délic­tueuses de la police à Paris qui méri­te­raient sanc­tions au plus haut niveau de l’Etat.
Les inter­ven­tions exi­geant un droit au loge­ment pour tous ont été éga­le­ment for­te­ment sou­te­nues par une foule atten­tive, où nombre de jeunes étaient pré­sents.
Tous les syn­di­cats qui sont inter­ve­nus (FO, Soli­daires, UNEF, CNT, UNL…) ont récla­mé des moyens pour la sécu­ri­té, la sau­ve­garde des emplois, les salaires. « La jus­tice sociale main­te­nant ! » était l’un des trois slo­gans appe­lant à la ren­contre avec, « Des lits, des per­son­nels, des moyens pour l’hôpital public et la san­té, main­te­nant ! » et « Nos droits démo­cra­tiques main­te­nant ! ».
A l’issue des prises de parole, les mani­fes­tants ont défi­lé.
Vers 21h quelques inci­dents ont conclu la mani­fes­ta­tion.

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